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Belgiquegate voir PSgate

 

 

 

  PulifinKlint 585  W

 

 

 

DEUX commentaires + EXTRAIT de l'article ci-dessous débordant largement notre landerneau en un mot la vérité sans complaisance ni esprit de « système » -188- ce que la dernière Assemblée Générale de PUBLIFIN du 30.03.2017 n’a toujours pas compris le ministre wallon de tutelle ayant cassé 2 de ses décisions dont une portant sur le montant d’émoluments d’un administrateur. On revient par la fenêtre sous une forme ou une autre comme dit ci-dessous.

 

1° L'extrait ci-dessous mettant en exergue l'état non de compromis mais bien de compromissions du monde politique de la corbeille tout autant que celui de partis politiques dominant dont le social-démocrate PS belge est le fer de lance

 

2° Globalement l'article fait tout autant la démo qu'en l'absence de contrôle permanent citoyen de leurs élus et du droit populaire permanent de destitution de ces derniers et d'une lutte contre le carriérisme politique le chant de la "démocratie" est une très mauvaise plaisanterie.

 On peut en dire tout autant au vu des revendications électoralistes d'un PTB se limitant aux seules rémunérations et patrimoines de la basse-cour politique qui, occasions et temps aidants, aura tôt fait de surmonter l'obstacle

 

Le rédac de RIPOSTE

 

EXTRAIT

 

C'est que l'ensemble du marigot politico-affairiste wallon est sur la scellette : outre Paul Furlan et son chef de cabinet, Stéphane Moreau, le patron de Nethys, André Gilles, président de Publifin et membre du Parti socialiste, ainsi que d'autres administrateurs de l'intercommunale, sont sur le grill. Cumul de mandats, mélange des genres, emplois plus ou moins fictifs, tout y passe.

 

Pour les médias belges, le scandale Publifin est un séisme. L'affaire révèle au grand jour les pratiques douteuses des politiciens d'outre-Quiévrain, où coups bas et coups à trois bandes font partie du quotidien – au détriment des contribuables belges.

 

C'est ici que les affaires Publifin et Kazakhgate se rejoignent. Non par ce qu'elles ont toutes deux fait l'objet d'une commission parlementaire, mais parce que ces mêmes commissions parlementaires, pour distinctes qu'elles soient, aboutissent aux mêmes conclusions : c'est tout le système politique belge qui part à vau-l'eau.

 

En somme, c'est comme si les commissions Publifin et Kazakhgate n'étaient que les arbres qui cachent la forêt : une forêt où intrigue tout le petit milieu politique belge. Patokh Chodiev a bien protesté contre le traitement qui lui était réservé. Il a écrit plusieurs missives aux premiers concernés. Mais, malgré l'absence de la moindre preuve l'incriminant, les membres de la commission consacrée à son cas se refusent, pour l'heure, d'admettre publiquement qu'en lieu et place d'un « Kazakhgate », c'est bien d'un « Belgiquegate » dont il est question.

 

Lire lien ci-dessous

 

https://blogs.mediapart.fr/jeremy-dudouet/blog/060617/commissions-publifin-et-kazakhgate-symboles-de-la-faillite-politique-belge?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66

 



07/06/2017
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