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Di Rupo Academy

 

 

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Relance
 

 

 

 

 

Vidéo Académique ci-dessous !

 

 

 

 

 

Pacte relance ( ! ) + Chantier idées 2015-2016-2017

01.12.2013

 

1

Le Premier ministre Elio Di Rupo a dressé 26.11.2013 un bilan de l'action du gouvernement durant une législature essentiellement consacrée à la réforme de l'Etat et l'assainissement des finances publiques.

« Ensemble, Etat fédéral, Régions, Communautés, citoyens et entreprises, « nous sommes capables de grandes choses.

Avec la confiance retrouvée, la « Belgique va de l'avant » 
En  2015, pour la confiance retrouvée, les sondages électoraux donnent une chute libre et situe le PS à qqs  26%  ...

Histoire à suivre. ...
En 2017 il se trouve à 20 % le niveau historiquement le plus bas depuis 1945 obligeant des titulaires de la corbeille de faire leurs valises et ne manquera pas de provoquer les chutes en cascades aux niveaux inférieurs.

Faudrait encore déduire la masse des abstentionnistes qui représentent la 4ème force politique du pays !

 

Quant à 2016 on  est à moins de 25%, score le plus bas depuis 1945 et on tente de se renflouer par l'opération cosmétique du gouvernement wallon sur Traité CETA; 

 

2

Pendant ce temps on refile  un morceau de la "fameuse dette" aux autres entités et aux générations futures en raison de l'absence de décision dans le dossier bancaire, du report de charges sur les communes, de la dégressivité accélérée des allocations de chômage au détriment des CPAS et des sans emplois, de la réduction de l'enveloppe bien-être (refinancement des allocations) et de la "manipulation" de l'index, de l'état d'une Justice "déplorable" et "moins accessible", du passif nucléaire, du blocage des salaire et allocations sociales durant les 6 premiers mois de 2014 etc…

 

3

En 2012, la déduction pour les intérêts notionnels (portant sur l'exercice 2011), a représenté un "manque à gagner" de 6,16 milliards d'euros pour l'Etat", rapporte mercredi Le Soir sur base de chiffres du SPF Finances issu de l'"inventaire des exonérations, abattements et réductions qui influencent les recettes de l'Etat".

Cela représente une hausse de presque 800 millions d'euros par rapport à 2011.  

 

 

 

4

La dette publique s'élevait à 377,2 milliards fin novembre 2013 et celle de la Région wallonne, elle n'atteint pas 6,25 milliards d'euros, comme annoncé par le ministre wallon du budget André Antoine, mais 11,237 milliards d'euros, selon le 25e rapport de la Cour des comptes,

 

5

Selon le bureau d'études Graydon, dix-sept multinationales ayant plus de 10 milliards d'euros de fonds propres disposent d'une société d'investissement en Belgique. Cinq d'entre elles sont actives dans le pétrole ou l'énergie, rapporte mardi L'Echo.

La Belgique fait en effet figure de "véritable Eldorado" pour de nombreuses multinationales qui utilisent des sociétés belges de financement pour réduire leur charge d'imposition au niveau mondial. Elles recourent à des holdings ou à des banques internes. Celles-ci rassemblent les liquidités que recueille une multinationale pour les prêter à d'autres filiales, et ce afin de profiter du système belge des intérêts notionnels. 

  

6

Eh oui … A la rigueur on pourrait se demander si les propos du Premier cités au point 1 sont de l'humour ou du mépris ?

Au vu de la réalité nous indiquer que "la Belgique va de l'avant" à l'évidence c'est bien « La Di Rupo Academy ».

Soit la manifestation du "Syndrome du poisson rouge" qui ne cesse de tourner dans son bocal tentant de nous éblouir par sa couleur qq peu écarlate. 

 

 

 

Ceci dit, indépendamment de ce spectacle désolant et d’échéances électorales, la seule porte de sortie, la seule alternative réaliste et de propositions radicales programmées, pour  être efficace ne pourra surgir qu’au travers un pilier politique fédérativement pluriel.

Certes pas au singulier telle « la voix juste d’un parti défenseur des travailleurs » d'un PTB mais refuse chez lui l’expression libre des courants.

 

En un mot le pilier politique fédérant les aspirations individuelles et collectives s’attaquant inconditionnellement aux structures d’un système de gestion de la société par le tout aux profits.

Un pilier posant pas à pas, sans "sauveur suprême", les bases théoriques et pratiques de sa structure prioritairement et d’un socialisme autogestionnaire et certes pas des manifs / grèves types soufflés 2014 - 2015.

Que cela soit possible certes, réalisable et à ce jour incontestablement tout reste à faire.    


 
Le Rédac de RIPOSTE

 



01/01/2014
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